Le consentement A toi, Aline.
Aérium St Vincent de Paul au Moulleau, Eté 1973
Pour écrire ce texte, j'ai revisité certaines chansons des artistes suivants: Barbara, Julos Beaucarne, Jacques Bertin, Barbara, Christophe, Francis Cabrel, Georges Moustaki, Michel Sardou, Paul Verlaine…
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Elle est à chaque fois tout à fait la même
Elle m’aime et me comprend.
Son regard était pareil
A celui d’un ange
Sa voix sensuelle
Caressait ma vertu
L’inflexion de ses hanches
Berçait un temps révolu
Sur ma peau ingénue
Ses mains douces et fines
Sa chevelure noire
Glissait sur mon corps nu
Quand j’avais peur du noir
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une fille aux yeux clairs,
qui m’offrait chaque jour
Ses seins lourds comme si j’étais son enfant
Elle avait 26 ans
Elle seule, apaisait
Aimait mon cœur d’enfant
Elle savait rafraichir
Sans honte et sans péchés
Mon front blême en souriant
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’amour voluptueux
Qu’elle m’offrait chaque nuit
Qui me rendait heureux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une aigle blanche, brillante de mille feux
Qui m’emporte avec elle sur son nuage blanc
D’amour incestueux.
Jamais elle n’a disparu
Dans aucun orage
Sur aucune plage
Je ne l’ai dessinée
Jamais je n’ai pleuré
La belle âme dévolue
Son errance libertine
Enveloppait toutes mes peines
Soignait mes tourments
Me caressant m’aimant
Bien plus qu’une reine
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Son regard était pareil
A celui d’un ange
Sa voix sensuelle
Caressait ma vertu
L’inflexion de ses hanches
Berçait un temps révolu
Sur ma peau ingénue
Ses mains douces et fines
Sa chevelure noire
Glissait sur mon corps nu
Quand j’avais peur du noir
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une fille aux yeux clairs,
qui m’offrait chaque jour
Ses seins lourds comme si j’étais son enfant
Elle avait 26 ans
Elle seule, apaisait
Aimait mon cœur d’enfant
Elle savait rafraichir
Sans honte et sans péchés
Mon front blême en souriant
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’amour voluptueux
Qu’elle m’offrait chaque nuit
Qui me rendait heureux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une aigle blanche, brillante de mille feux
Qui m’emporte avec elle sur son nuage blanc
D’amour incestueux.
Jamais elle n’a disparu
Dans aucun orage
Sur aucune plage
Je ne l’ai dessinée
Jamais je n’ai pleuré
La belle âme dévolue
Son errance libertine
Enveloppait toutes mes peines
Soignait mes tourments
Me caressant m’aimant
Bien plus qu’une reine
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une fille aux yeux clairs,
qui m’offrait chaque jour
Ses seins lourds comme si j’étais son enfant
Elle avait 26 ans
Elle seule, apaisait
Aimait mon cœur d’enfant
Elle savait rafraichir
Sans honte et sans péchés
Mon front blême en souriant
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’amour voluptueux
Qu’elle m’offrait chaque nuit
Qui me rendait heureux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une aigle blanche, brillante de mille feux
Qui m’emporte avec elle sur son nuage blanc
D’amour incestueux.
Jamais elle n’a disparu
Dans aucun orage
Sur aucune plage
Je ne l’ai dessinée
Jamais je n’ai pleuré
La belle âme dévolue
Son errance libertine
Enveloppait toutes mes peines
Soignait mes tourments
Me caressant m’aimant
Bien plus qu’une reine
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Jamais je ne regrette
L’amour voluptueux
Qu’elle m’offrait chaque nuit
Qui me rendait heureux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une aigle blanche, brillante de mille feux
Qui m’emporte avec elle sur son nuage blanc
D’amour incestueux.
Jamais elle n’a disparu
Dans aucun orage
Sur aucune plage
Je ne l’ai dessinée
Jamais je n’ai pleuré
La belle âme dévolue
Son errance libertine
Enveloppait toutes mes peines
Soignait mes tourments
Me caressant m’aimant
Bien plus qu’une reine
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Jamais elle n’a disparu
Dans aucun orage
Sur aucune plage
Je ne l’ai dessinée
Jamais je n’ai pleuré
La belle âme dévolue
Son errance libertine
Enveloppait toutes mes peines
Soignait mes tourments
Me caressant m’aimant
Bien plus qu’une reine
Je me souviens d’Aline
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D’une femme nue assisse sur la pierre blanche
Ses cheveux balancent mollement je me penche
Vers sa nuque grise tendrement
Elle seule, m’emportait
Sous les pommiers sauvages
Je dormais dans ses bras
Pas toujours vraiment sage
J’apprenais à jouir
Je l’aimais à mourir
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Jamais je ne regrette
L’ amour délictueux
Qu’elle m’offrait en cachette
Dans un hospice si pieux
Que la morale guette
Condamne avec mépris
Je fais souvent ce rêve étrange pénétrant
D'une femme connue, que j'aime, et qui m'aime
Le corps lassé trop caressé semble porter
Mon souvenir qu’elle a dû fuir.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Bruno V. - Chant
Bruno V. - Guitares
Serge Bianne - Basse
Mix: Serge Bianne (Studio Aturri Mouguerre)
7 Décembre 2021